Chrome6 par électrolyse pour l'industrie, acier chromé, alliage, galva
Le Chrome3 présent à l’état naturel est transformé par l’activité humaine en Chrome6, irritant et cancérigène. Cela impacte particulièrement les soudeurs, les cimenteries et les techniciens sur les surfaces… On le trouve également dans l’aéronautique, les fabricants de carlingues. L’aspiration au plus près de la source en plus d’une tenue de protection adaptée est nécessaire. Des équipements normalisés ATEX peuvent être imposés.
L’industrie et la sidérurgie captent 90 % des usages du chrome notamment pour la fabrication d’alliages, d’aciers inoxydables, l’industrie chimique l’utilise aussi comme, catalyseur pour la transformation de composés, la fabrication de peintures, de céramiques, de cosmétiques, et traitements de surfaces. Les rejets par poussières en suspensions, dans les eaux, dans les sols constituent une exposition à contrôler pour préserver la santé.
On discerne le chrome trivalent et hexavalent, le premier se trouve naturellement dans des minerais du type Chromite et est sans risque pour l’homme, le second est cancérigène pour la santé et nécessite une manipulation contrôlée.
Seuil maximal autorisé de rejet par une installation industrielle (source INRS) : 100 kg/an dans l’air, 50 kg/an dans l’eau, 50 kg/an dans les sols.